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Tableau des vestiges visibles de l'Aqueduc du Gier

Voir tous les vestiges et le tracé  Voir le tracé de l'aqueduc sans les vestiges

Volontairement nous avons omis de faire figurer dans ce tableau les points (dont certains sont bien connus) autres que les vestiges visibles, en élévation; en effet, ces vestiges, dans leur ensemble sont presque toujours dans des parties privées d'une part, et donc soumis à autorisation des propriétaires et d'autre part il ne faut surtout pas mésestimer la dangerosité qui découle des parties enterrées; néanmoins un certain nombre d'entre elles sont accessibles mais avec l'aide de guides-spécialistes. Le Groupe Archéologique Forez-Jarez se tient à la disposition de tous les publics pour la découverte de l'ouvrage antique. Pour tout renseignement, contactez-nous.
Les repères 9 à 28 ne sont pas très nets, il faut attendre une meilleure pixellisation de la part de Google Earth.

NomDescriptionLat/Lon/Pluscode/Alt
1 Saint-Chamond Prise d'eau 
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 C'est au lieu-dit "Moulin-Combat" qu'est attribuée généralement la prise d'eau de l'aqueduc du Gier, à une altitude de 400/405 m environ, depuis une levée en très grosses pierres; mais la problèmatique de ce secteur est qu'une autre levée se trouve 250 m plus haut; des mesures prises, il apparaît que l'aqueduc aurait pu prendre également l'eau de la rivière depuis cet endroit, alors ? D'après des écrits anciens, l'aqueduc se serait dirigé ensuite en conduite non couverte jusqu'à un très grand bassin, situé aujourd'hui à l'emplacement de la station d'épuration de Saint-Chamond. Ce bassin aurait servi de régulateur et de première décantation .45.44965572°N
4.504496486°E
8FQ6CGX3+VR
402.5 m
2 Saint-Chamond ex-teinturerie d'Izieux;  
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 L'aqueduc se rencontre dans ce qui semble être l'endroit situé le plus en amont de ce qui est visible aujourd'hui. Il a pu être reconnu sur une dizaine de mètres, d'aval en amont, à partir du sous-sol de l'ex-teinturerie aujourd'hui détruite; il semblait se poursuivre, en bon état, et toujours rectiligne sur plusieurs dizaines de mètres, c'est-à-dire plein sud; tout ce secteur a été arasé en vue d'une construction future; à noter que lors de l'opération de dépollution du site (30-01-2009), une canalisation intéressante qui a été rencontrée près du mur nord, pourrait avoir rencontré l'ouvrage romain, elle n'a malheureusement pas été étudiée.L'accès à l'aqueduc lui-même a été aménagé et protégé de façon à pouvoir... peut-être un jour...45.457165°N
4.503567°E
8FQ6FG43+VF
398 m
3 Saint-Chamond Stade de Pachoa 
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 Une partie du radier de l'aqueduc est aujourd'hui encore visible dans le talus du stade de Pachoa.45.460101°N
4.503948°E
8FQ6FG63+3J
399.5 m
4 Saint-Chamond La Varizelle 
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 Saint-Chamond : La Varizelle. Au printemps 1993 (avril), la construction d’une Z.A.C. par l’Office Public d’Aménagement et de la Construction (O.P.A.C.) de Saint-Chamond, a déclenché une intervention archéologique ; des sondages préalables avaient précédé au mois de mars de la même année. Depuis l’amont, l’ouvrage se caractérisait par un tunnel ; C’est le cas typique de l’ouvrage romain que de suivre généralement les courbes de niveau, mais lorsque une zone à traverser se compose d’un rocher trop dur, d’un terrain instable, ou simplement permettant de raccourcir le parcours, alors les ouvriers romains optaient pour les tunnels. L’altimétrie de l’ouvrage se situe à la côte 397,71 (radier). Depuis l’emprise de la Z.A.C. et jusqu' à la limite de celle-ci, le tunnel a pu être mesuré sur une quarantaine de mètres ; à sa sortie, vers l’aval, un exutoire fut repéré, permettant d’évacuer l’eau ; on ne sait pas si celui-ci date de l’époque romaine ou si l’ouvrage romain fut réutilisé par la suite. On ne sait pas davantage, si l’aqueduc retrouvé plus ou moins intact sous le tunnel et exceptionnellement construit en briques (seul autre cas connu à ce jour, à Sainte-Foy-les-Lyon, le tunnel du Vingtain), était construit comme cela à l’origine, ou s’il s’agissait d’une réfection. Depuis le regard d’accès proche de la fin du tunnel, à 1, 60 m, voir photo (mais pourquoi avoir creusé un regard si près de la fin du tunnel ?), en remontant vers l’amont, entre la voûte du tunnel composée de schiste et les débris de l’aqueduc, nous avons pu faire 34,70 m ; au-delà, l’aqueduc était partiellement intact au niveau des claveaux de tête et des piédroits. Nous avons encore pu faire 2,60 m avant de rencontrer, un cône de remplissage correspondant à un regard. Depuis l’axe du regard du tunnel (1,40 x 1,20) par lequel nous sommes entrés et jusqu’au pied de l’effondrement final, nous avons mesuré 37,30 mètres, soit presque un actus ! Il est à noter qu’une équipe de Forez-Jarez pu participer à la fouille dirigée par Nicole Valour, et dégager le dernier regard situé tout à fait en aval (voir photo là aussi). Une nouvelle numérotation a pu alors être réalisée et les dimensions des regards communiqués. Depuis la sortie du tunnel, et jusqu’à la fin de la fouille, l’aqueduc était construit selon le mode traditionnel, en pierres et revêtu de tuileau sur les piédroits construits en petit appareil assisé. 45.461649°N
4.493406°E
8FQ6FF6V+M9
397.7 m
5 Saint-Chamond : Pont Nantin 
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 Camille Germain de Montauzan le décrit ainsi (page 99). "Le pont-aqueduc, qui d'après l'inspection du terrain devait avoir environ 150 mètres de long, n'a laissé de vestiges qu'à son extrémité nord, au-delà de la route. On y voit encore, en un alignement perpendiculaire à la direction de cette route, les tronçons de cinq piles, émergeant à peine du sol, assez saillants néanmoins pour que l'on puisse distinguer le parement réticulé et la masse intérieure en maçonnerie de blocage. La distance de ces piles est d'environ quatre mètres d'une face à la face opposée de la pile suivante, et leur section, carrée, est épaisse de 1, 50 m". G.-M. Delorme (fin XVIIIe s, écrit en légende ses dessins: "Ces ruines du pont-aqueduc à l'occident de la Petite Varizelle, paroisse d'Issieu (sic), au travers du vallon dans lequel coule le ruisseau de Janon, et où passe le grand chemin de Saint-Chaumond (re-sic) à Saint-Etienne. Cet aqueduc entre dans le chemin de Pacalon et le traverse. il est composé de 36 arcades, ensemble long; 122 toises". Plus près de nous, le Père Granger (décembre 1968), dans une communication à la Diana avait, lui, écrit : "A la Petite-Varizelle, entre le 10 et le 12 octobre, les terrassements et fouilles opérés pour la construction de M. Vignon-Bonnevialle, ont fait retrouver sur une cinquantaine de mètres le chenal de l'aqueduc du Gier, en pente très faible, dans la direction du Langonand"; Notons encore, que le Père Granger publia en 1983, un article, avec photos et croquis d'outils (2) retrouvés dans le canal, à La Varizelle, outils en pierre, dont l'inventeur, un certain M. Pouzet, déclare : "la nature, la facture, la destination essentielle ne peuvent faire "aucun doute" pour un homme du métier; c'est ce que la technologie moderne appelle, des marteaux à plaquer". On s'en tiendra là des écrits antiques, en conclusion (!) pour dire qu'en 1998, des travaux d'élargissement du chemin de Pacalon, ont fait disparaître les restes des piles encore visibles... 45.46143°N
4.488494°E
8FQ6FF6Q+HC
395.5 m
6 Saint-Chamond Le Langonand 
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 Le pont avait une longueur de 53 mètres entre culées et comptait 7 piles dont 5 sont encore debout. La cote du radier était de 393 mètres.45.471478°N
4.491683°E
8FQ6FFCR+JM
393 m
7 Saint-Chamond L'Arcelet  
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  Après avoir traversé le Langonand, l'aqueduc fait un détour saillant et passe dans la vallée de son affluent, l'Arcelet, autrefois "l'Archelet". Actuellement, il reste un moignon de pile du pont qui franchissait le vallon et dont le tablier devait sans doute s'élever à une douzaine de mètres au-dessus du thalweg.45.473965°N
4.493379°E
8FQ6FFFV+J9
392 m
8 Saint-Chamond : Pont de Mornante (Croix-Mazenod ou du Colombier) 
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 Cinq arches peut-être pour ce pont... James Condamin nous dit (dans son ouvrage déjà cité) que M. Richard a raconté que "lorsque les débris de l'ancien château de Saint-Annemond furent enlevés, on trouva dans les fondations, une pierre constatant qu'elle avait été placée au commencement du règne d'Auguste" ! 45.48868912°N
4.509880546°E
8FQ6FGQ5+GX
390 m
9 Cellieu : Pont-des-Arcs :  
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 Quittant Saint-Chamond et sa douzaine de vestiges encore visibles, pour aborder la commune de Cellieu. Le ruisseau des Arcs (!) fait limite entre les communes de l'Horme et de Cellieu.; la culée aval du pont le franchissant a été submergée par les remblais de la D 37.45.5047104°N
4.537388123°E
8FQ6GG3P+WX
387 m
10 Grand-Croix : Couttange 
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 Couttange : les deux ponts. C’est pendant l’hiver 1989/1990 qu’une fouille archéologique eut lieu, préalablement à l’aménagement d’une retenue collinaire . Fait exceptionnel pour l’aqueduc du Gier, deux ouvrages avaient traversé le vallon ; le premier ayant du donner des signes de fatigue, il en fut reconstruit un autre à proximité plutôt que de réparer le premier . Chacun de ces ponts fut précédé par un regard de visite de type grand module, avec fond surbaissé d’un pied romain de profondeur. Pour le second, dans l’ordre de la construction, c’est avec un raccord de mauvaise qualité qu’il fit sa jonction avec le canal . En effet, la voûte et le piédroit droit furent brisés sans soin ; ce nouveau pont construit bien sûr en amont du premier, raccourcit ainsi le parcours de l’ouvrage de quelques mètres… Aujourd’hui, c’est seulement en période d’étiage, lorsque le niveau de la retenue est au plus bas, qu’on aperçoit les restes des deux regards, de part et d’autre du bassin. Il n’a pas été retrouvé, comme sur l’aqueduc de Fréjus, de « bouchon » condamnant le premier parcours. 45.51322641°N
4.552768366°E
8FQ6GH73+84
385.4 m
11 Genilac : Pont du Collenon : 
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 Le ruisseau du Collenon était franchi par un ouvrage qui n'a laissé que peu de traces. Pourtant, en 1993, nous avons pu remarquer que l'aqueduc signalé en amont par rapport en 1989 n'était plus visible. Néanmoins un regard attentif nous a permis de repérer un certain nombre de réticulés appartenant donc à la culée amont, dans le talus abrupt au-dessus de l'eau, et détail intéressant, certains d'entre eux encore revêtus d'enduit hydraulique, symptomatique des réticulés tournés vers l'intérieur du canal.45.52137995°N
4.563657775°E
8FQ6GHC7+HF
385 m
12 Genilac : Collenon (regard, tranchée) 
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 Près de 500 m de long pour cette tranchée presque à fleur de sol; sa largeur a pu être mesurée à 0,90 m; aujourd'hui elle est particulièrement visible, ainsi d'ailleurs que la tranchée supérieure, parallèle à elle, grâce aux arbres qui la jalonnent; un regard a été trouvé sur le parcours (quelques réticulés sont visibles à proximité), et un glissement de terrain a laissé voir un jour le radier revêtu de tuileau sur une hauteur de 12,5 cm; de chaque côté, au pied des parois, des dépôts plus importants de ce tuileau ont pu être aperçus; s'agissait-il de solins ou d'enduit sur les piédroits, ayant glissé ou encore les deux ? Aucune précision n'a pu être apportée à ce jour sur ce point. On ne sait pas davantage s'il y eut une maçonnerie à l'intérieur de la tranchée, ce qui semblerait probable...45.52090483°N
4.564918904°E
8FQ6GHC7+9X
384.1 m
13 Genilac : Réservoir de chasse de Leymieu 
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 En ce qui concerne le siphon, le premier des quatre de l'aqueduc du Gier, le réservoir de chasse est bien conservé (comme d'ailleurs les trois autres réservoirs de chasse des autres siphons, à contrario les réservoirs de fuite, eux, ont tous disparu) ; l'intérieur du bâtiment se compose d'une chambre voûtée de 6,45 m de long pour 2,25 m de large ; chacun de ces édifices était surmonté d'un regard de visite ; 9 tuyaux de plomb dont les orifices de sortie sont encore bien visibles pour 7 d'entre eux descendaient vers le fond de la vallée, supportés dès la sortie du réservoir par un rampant (plan incliné construit). Un dixième trou fut bouché par les Romains eux-mêmes (peur de voir l'ouvrage se désamorcer en période d'étiage ?) Ces tuyaux mesuraient 23 cm extérieurement pour une épaisseur de 2,5 cm environ et une longueur de 3 m ; (les tuyaux du siphon de Trinquetaille en Arles, visibles au musée de la ville, sont munis de picots pour éviter de glisser). D'une longueur de 900 m chacun, mis bout à bout, ils s'appuyaient sur le pont-siphon situé au fond de la vallée avant de remonter jusqu'au réservoir de fuite placé à un niveau plus bas que le réservoir d'amont ; Ici la hauteur de flèche est de 78 m (différence entre le pont-siphon, de 136 m de long, et la ligne théorique de niveau) et la perte de charge (différence entre les niveaux des radiers des deux réservoirs est ici de 5,80 m). D'après les calculs réalisés pour l'aqueduc du Gier seul, il aura donc fallu dix mille tonnes de plomb pour ses quatre siphons. 45.526985°N
4.570148°E
8FQ6GHGC+R3
382.8 m
14 Genilac : Pont-siphon (rives de la Durèze) 
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 Citons ici Camille Germain de Montauzan : "...un pont de quinze arches, d'une hauteur maxima de vingt mètres environ. Large de 7,65 m, il y avait 136 m de longueur entre culées. On y reconnait encore la culée amont, la première et la deuxième pile tronquées, des débris de la quatrième, les fondations de la onzième, la treizième et la quatorzième presque entières, et, enfin la culée d'aval". Aujourd'hui la grosse pile (classée) est défigurée par un dépôt de matériaux divers, et, côté amont, une piste de moto-cross a vu le jour; à noter l'inclusion de briques, pour la premièe fois, dans la construction (côté amont).45.528956°N
4.574131°E
8FQ6GHHF+JM
304 m
15 Chagnon : Le Bessy 
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 Une section de l'aqueduc est visible en contrebas de la route (talus très pentu); la coupe assez nette correspond peut-être à la présence d'un regard ou de la partie correspondant à la rencontre de deux équipes de constructeurs.45.53486219°N
4.546401018°E
8FQ6GGMW+XH
382 m
16 Chagnon : Les Echèdes 
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 Le chemin descendant du hameau à la rivière avait coupé l'ouvrage romain; lorsque ce chemin dut être élargi, les habitants du village décidèrent de protéger la partie la plus spectaculaire; ils construisirent un abri au-dessus de l'accès au canal, à l'aide de madriers soutenant le toit recouvert de tuiles (romaines bien sûr, mais récentes); le canal est visitable sur quelques mètres côté amont (voir une réfection de la voûte), et sur une quinzaine de mètres côté aval.45.53691891°N
4.542513311°E
8FQ6GGPV+Q2
381.6 m
17 Chagnon : La Côte d'Ollière 
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 Si Louis Arragon avait signalé la possibilité qu'il y ait à cet endroit un petit ouvrage pour franchir le vallon, comme bien souvent dans la vallée de Chagnon, c'est grace à Marcel Staron que nous en devons la découverte. Ce point, l'aqueduc trouvé, a fait l'objet d'un sondage effectué par Forez-Jarez en 1993/1994. La canalisation a été vidée de la terre qui l'encombrait, sa voûte, intacte ainsi que les piédroits, et pu être visitée sur une douzaine de mètres vers l'amont. Un levé des lieux a pu être effectué par Joseph Barou, ancien géomètre des mines.45.53682898°N
4.54250972°E
8FQ6GGPV+Q2
381 m
18 Chagnon : La Cave du Curé : 
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 Le terrain, en ces lieux étant particulièrement instable, les ouvriers romains choisirent de traverser l'éperon rocheux qui surplombe le village de Chagnon; et c'est comme toujours dans ce cas de figure, qu'ils creusèrent un tunnel, dans lequel fut construit l'aqueduc. Aujourd'hui, on peut voir l'aqueduc, amputé sur une bonne dizaine de mètres de sa construction primitive par les pierres récupérées au fil du temps. Mais il subsiste encore sur plus de 80 mètres permettant la traversée de part en part de la montagne. On remarquera bien sûr, les traces des pics romains sur les parois du tunnel, les petites cavités correspondant à l'emplacement des lampes des ouvriers et l'évidement entre le sommet de la voûte de l'aqueduc et le tunnel lui-même; il est intéressant de remarquer que la voûte du tunnel s'abaisse brusquement et verticalement au bout de quelques mètres... On notera encore la sinuosité du parcours du canal, et l'excellent état de l'enduit hydraulique sur les parois.45.536717°N
4.55215°E
8FQ6GHP2+PV
378.8 m
19 Genilac : (Regard du Colombier) 
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 Regard de petit module, bien caché45.53628927°N
4.560673111°E
8FQ6GHP6+G7
377.3 m
20 Genilac : Le colombier (taille) 
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 Magnique entaille de rocher de plusieurs mètres de haut pour le passage de l'aqueduc en-dessous du Colombier; quelques centaines de mètres plus , on en retrouve une autre, presque similaire, au lieudit "les Armières".45.53603811°N
4.56424876°E
8FQ6GHP7+CP
377 m
21 Genilac : (les Armières) 
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 Impressionnte entaille !45.5387537°N
4.568899693°E
8FQ6GHQ9+GH
376.8 m
22 Genilac : Pont du Feloin (amont et aval) 
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 Classé Monument Historique en 196245.53950814°N
4.579757278°E
8FQ6GHQH+RW
375 m
23 Saint-Martin-la-Plaine : Pont de Beaulieu 
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 Sous la mousse et le lierre, là aussi, les vestiges sont divers et fortement dispersés; dommage pour le panneau en réticulés....45.54214934°N
4.587164997°E
8FQ6GHRP+VV
374.3 m
24 Saint-Martin-la-Plaine : La Manine (mur) 
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 A l'entrée de Saint-Martin-la-Plaine, le petit chemin pentu, sur la droite, nous permet d'apercevoir dans un pré à gauche, les restes du mur.45.542°N
4.600483°E
8FQ6GJR2+R6
374 m
25 Saint-Martin-la-Plaine : Fontanes (tunnel, entrée) 
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 En 1991, le spéléo-club de Villeurbanne entreprit avec l'aide d'habitants du lieu, de dégager l'accès à la canalisation au-delà du regard partiellement obstrué par deux dalles de couverture; Les Romains, on le sait, creusaient les tunnels avec deux équipes allant à la rencontre l'une de l'autre; eh bien, surprise, les vaillants spéléos et découvreurs virent que les ouvriers antiques avaient bien failli ne pas se rencontrer; en effet, une erreur de tracé s'était produite, et ils auraient pu se manquer ! Heureusement, les deux équipes n'étant pas très loin l'une de l'autre, ils durent s'entendre et se rejoignirent en entaillant le rocher, en biseau, sans que celui-ci soit revêtu d'enduit hydraulique; les deux parties interrompues provoquèrent deux espaces très larges, véritables chambres souterraines où la construction de l'aqueduc et celle du tunnel sont particulièrement visibles.45.54393352°N
4.601326798°E
8FQ6GJV2+HH
373.4 m
26 Saint-Martin-la-Plaine : La Ronze, pont de Fontanes) 
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 Quelques restes du pont sont visibles dans le parc du château.45.54411337°N
4.601334173°E
8FQ6GJV2+MH
373.2 m
27 Saint-Joseph : Pont du Rieu (culée aval) 
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 A l'entrée du tunnel, en regardant vers l'amont,il fut trouvé un regard de visite, grand module, avec un fond surbaissé, regard dans lequel fut trouvé ce qu'on appelle aujourd'hui, la "Pierre de Saint-Joseph" et dont un moulage figure devant l'entrée de la mairie de Saint-Joseph. Borne de protection, dont l'état et les marques, permettent de voir qu'elle resservit un jour pour un autre usage que celui pour lequel la pierre fut taillée.45.55118033°N
4.607900899°E
8FQ6HJ25+F5
372.6 m
28 Saint-Joseph : Pont de Vaille (les Varennes) 
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 Sous les feuilles, sous la mousse, dans ce vallon très pentu, subsistent quelques éléments du pont original.45.55660082°N
4.611326689°E
8FQ6HJ46+MH
372 m
29 Saint-Joseph (caves) 
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 Heureusement que certains sont préoccupés de leur patrimoine; ces vestiges bien conservés sont des témoins importants du passage d'un ouvrage romain, vieux de 2.000 ans !45.56952024°N
4.617753628°E
8FQ6HJ99+R4
370.3 m
30 Saint-Didier-sous-Riverie : Pont du Grand Bozançon 
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 Sur la rive gauche du ruisseau du Grand Bozançon, on peut voir les restes du pont. La pile la plus proche de la rivière conserve un beau parement réticulé partagé par des arases en pierre. Le radier du canal est visible sur la dernière arche.45.57235982°N
4.606465668°E
8FQ6HJC4+XJ
368.5 m
31 Saint-Didier-sous-Riverie : Chez Virieu (chemin) 
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 L'accès au canal, bien conservé, se fait sans problème malgré que les premiers mètres soient un peu difficiles; le reste du parcours n'offre pas de problème; près de la sortie, encore un peu de reptation et c'est la lumière.45.57573953°N
4.612884354°E
8FQ6HJG7+85
368 m
32 Saint-Didier-sous-Riverie : Pont du Petit-Bozançon 
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 Il subsiste de part et d'autre de la très belle pile proche de la rivière, des éléments des deux culées de l'ouvrage. Un contrefort est visible au milieu du réticulé; comme toujours, le côté le moins exposé est en bien meilleur état que le côté exposé; le radier, conservé, se trouve à environ 11 mètres de hauteur.45.57924521°N
4.60867131°E
8FQ6HJH5+PF
367.2 m
33 Saint-Didier-sous-Riverie : Pont de la Billannière 
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 Ce petit pont ne devait avoir qu'une seule arche; il en reste la culée supportant encore le radier et une partie du piédroit droit avec un joli réticulé et le départ de l'arche franchissant le ruisseau. Entre le pont de la Billannière et le pont de Jurieu, il y a plusieurs accès à l'aqueduc; l'un d'eux comporte un regard de type grand module, incomplet, et rebouché par les Romains eux-mêmes.45.57820399°N
4.611191708°E
8FQ6HJH6+8G
366.9 m
34 Saint-Maurice-sur-Dargoire : Pont de Jurieu 
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 Ce pont, très bas, est le seul qui soit encore intact avec toutes les arches (trois) d'origine; à noter que des réticulés sont disposés au-dessus des arches, en rangée horizontale.45.57509°N
4.617171°E
8FQ6HJG8+3V
366 m
35 Saint-Maurice-sur-Dargoire : Pont des Granges 
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 Ce pont situé dans un cadre magnifique comportait cinq arches à l'origine. Comme toujours l'arche maîtresse est renforcée par des contreforts. Là encore les arases sont en schiste; un regard est deviné du côté aval du pont et au-dessus du piédroit droit; une ope interne à cette cheminée se voit aussi ainsi qu'une amorce de la voûte.45.572246°N
4.626966°E
8FQ6HJCG+WR
365 m
36 Saint-Maurice-sur-Dargoire : Palavezin (regards) 
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 Quatre regards ont été repérés sur Palavezin; les plus spectaculaires sont accessibles et visitables (après accord du propriétaire comme toujours); a partir du premier d'entre eux, un regard de petit module, on peut remonter, (côté aval), jusqu'au regard suivant, un grand module, comblé.45.57192857°N
4.649506081°E
8FQ6HJCX+QR
363 m
37 Saint-Maurice-sur-Dargoire : Chantacorio (regard privé) 
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 Ce regard, de grande taille, comblé, était connu depuis longtemps; le propriétaire désirant le récupérer en tant que réserve d'eau, il fut vidé de la terre le remplissant, et ce fut l'occasion de voir qu'il comportait un fond surbaissé au radier, bac d'arrêt pour sédiments; confirmant ainsi une hypothèse de l'auteur, que, sauf exception, les regards grands modules, ont tous des fonds surbaissés (généralement profonds d'un pied romain).45.58618676°N
4.656384649°E
8FQ6HMP4+FH
361 m
38 Saint-Jean-de-Touslas : Pont de la Grimodière 
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 Que reste-t-il de ce pont ? Peu de choses en vérité; des blocs épars dans le ruisseau, une base de pile et des blocs de réticulé sur la rive droite; l'un d'eux conserve l'amorce des piédroits.45.59781917°N
4.650976039°E
8FQ6HMX2+5C
358.5 m
39 Saint-Jean-de-Touslas : Pont du Corsenat (amont) 
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 L'arche est presque intacte, on voit aussi le radier et les piédroits revêtus d'enduit. La base de la pile aval intéressante,montre des réticulés disposés horizontalement45.602776°N
4.655031°E
8FQ6JM34+42
352 m
40 Mornant : Pont du Corsenat (aval) 
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 Côté aval, la culée du pont se prolonge presque jusqu'au niveau du sol. Après, comme presque toujours, l'aqueduc tourne brusquement et s'enfonce dans le sol.45.603143°N
4.655516°E
8FQ6JM34+76
352 m
41 Mornant : Pont de Gara 
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 Le ruisseau était franchi par un pont dont il reste les moignons de plusieurs piles et, côté aval, une arche à côté d'une cabane en pierre, au pied d'une petite butte.45.614396°N
4.664556°E
8FQ6JM77+QR
351.5 m
42 Mornant : Pont sur la Condamine 
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 De ce pont, il ne reste qu'un bloc informe au bord du ruisseau;45.615863°N
4.663399°E
8FQ6JM87+99
351 m
43 Mornant (le Villard, regards) 
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 Un regard gtand module, puis un petit plus loin; ces deux regards figurent parmi les rares à avoir conservé une partie de leur margelle de réticulés; une question pourtant, dans l'antiquité quelle était la hauteur de cette dernière ?45.61928894°N
4.665985648°E
8FQ6JM98+PC
351 m
44 Mornant : Pont du Mornantet 
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 Le franchissement de la rivière se faisait à l'origine entre l'arche principale, le cours d'eau a donc hangé de place. Côté ouest, l'appareil réticulé est très bien conservé. Sur le faîte, le canal avec son enduit est apparent, la voûte a disparu. A la sortie du pont le conduit s'enterre en direction de la route qui l'a coupé; il a a été vu intact lors de travaux d'aménagement du site.45.62128063°N
4.665428441°E
8FQ6JMC8+G5
351 m
45 Mornant : Regard à la grille 
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 La dalle de couverture de ce regard, appartenait au regard précédent, situé au bord de la route; deux regards grands modules à la suite, c'est une des anomalies de l'aqueduc; ce regard a pu être mesuré et photographié lors de travaux de nettoyage. Il comportait bien naturellement un fonds surbaissé.45.621247°N
4.66683°E
8FQ6JMC8+GQ
351 m
46 Mornant : Passage des Heurts 
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 Dans ce petit passage, la maçonnerie de l'aqueduc apparaît sur plusieurs mètres, côté gauche du passage en allant vers l'aval, avant de disparaître à nouveau.45.6175°N
4.670923°E
8FQ6JM9C+29
351 m
47 Mornant intra-muros 
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 L'aqueduc passe sous la commune, jusqu'à 20 mètres de profondeur. Plusieurs points ainsi que plusieurs puits sont visibles et parsèment le trajet de l'ouvrage romain; il semble intact, mais peu engageant à parcourir.45.620207°N
4.673587°E
8FQ6JMCF+4F
350 m
48 Saint-Laurent-d'Agny : Les Arches (regards) 
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 Deux regard successifs, un grand, puis un petit; le grand laisse apparaître de nombreux réticulés que l'on peut aun peu mieux apercevoir l'hiver; en effet, l'un comme l'autre, sont généralement envahis de broussailles et de "piquants".45.62834559°N
4.676245964°E
8FQ6JMHG+9G
348.5 m
49 Saint-Laurent-d'Agny : Chemin du Loup (regard) 
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 Là, un chemin creux a coupé l'aqueduc et un grand regard se trouve aujourd'hui "perché" au-dessus du côté nord du chemin. Une petite partie de la voûte de la canalisation est visible en amont du regard. Sur le côté droit du chemin, la coupe du canal et son radier ont pratiquement disparu sous l'effet de l'érosion.45.62885301°N
4.677806899°E
8FQ6JMHH+H4
348.1 m
50 Taluyers : Germanie (regard) 
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 Un petit regard se trouve au pied et en partie sous une loge dans une parcelle de terrain aménagée en prairie; une partie intéressante de sa margelle en réticulés est encore visible.45.63961772°N
4.705209048°E
8FQ6JPQ4+V4
343.2 m
51 Orlienas : Forafrais 
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 Plusieurs effondrements se sont produits dans ce terrain, ou l'aqueduc affleure; une partie bien conservée a pu être observée et mesurée du côté de l'aval en particulier.45.648159°N
4.705375°E
8FQ6JPX4+75
343 m
52 Orliénas : Pont du Merdanson 
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 rive droite de la rivière se situe un mur avec réticulés apparents; il s'agit de la partie amont du pont qui traversait le Merdanson. Des restes de piles épars appartenaient sans doute au pont lui même dont il reste la dernière arche avec une partie du piédroit droit avec son enduit; 45.663996°N
4.695628°E
8FQ6MM7W+J7
335.5 m
53 Orliénas : le Violon, (regard) 
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 Sous une plaque de tôle, sous un grand sapin, ce regard possède nombreuses opes en opposition; les eaux usées qui se déversent dedans lui donnent une coloration blanche; de ce puits, l'histoire dit, que vidé, il aurait été possible de remonter de 75 m en direction de l'amont.45.66723219°N
4.701774536°E
8FQ6MP82+WP
332.8 m
54 Orliénas : le Violon, (mur) 
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 Un mini-vallon est franchi par un mur-porteur dont les réticulés sur le côté droit sont encore bien conservés et apparents; un morceau du piédroit enduit est en appui sur un gros arbre, au milieu des broussailles45.66563577°N
4.704915287°E
8FQ6MP83+7X
332 m
55 Soucieu-en-Jarrest : Grandchamp (mur) 
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 Cest ici le début d'un très long mur en appareil réticulé que la route D 25 a coupé; sur la partie aval, une petite structure en élévation, au-dessus du piédroit gauche, laisse deviner ce qui fut un regard; une petite arche laisse voir ses claveaux ou alternent briques et pierres, et l'aqueduc va disparaître ensuite dans les maisons dans lesquelles se trouvent de nombreux réticulés en réemploi.45.678867°N
4.7174°E
8FQ6MPH8+HX
328.4 m
56 Soucieu-en-Jarrest : l'Archet (chameau) 
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 Après s'être enterré, l'aqueduc sort progressivement de terre, puis le sol s'abaissant encore, se trouve sur des arches; c'est là qu'une d'entre elles, isolée, affecte la forme d'un chameau qui a donné son nom à ce site.45.68467864°N
4.723712177°E
8FQ6MPMF+VG
327.3 m
57 Soucieu-en-Jarrest : La Gerle (réservoir de chasse) 
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 Après le "chameau", on trouve de nombreux blocs de l'aqueduc dans le bois qui suit; puis, le niveau du sol s'élevant, l'ouvrage romain apparait à nouveau sur des arches dans une longue file qui mène jusqu'au deuxième réservoir de chasse, dit de "la Gerle); moyennement conservé (moins bien qu'à Leymieu), le réservoir montre des trous dans lesquels se trouvaient les tuyaux de plomb qui descendaient ensuite jusqu'au pont-siphon du Garon. L'entrée de l'aqueduc se profile très bien dans le réservoir, de l'enduit subsiste et les cordons d'étancheité (solins) sont visibles.45.687639°N
4.72873°E
8FQ6MPQH+3G
326.5 m
58 Brignais : Garon (pont-siphon amont) ? 
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 Très joli vestige du pont-siphon amont dans un paysage dégagé; les piles les plus hautes ont été "remplies" par les Romains eux-mêmes pour leur stabilité qui devait poser problème. Le réticulé est très net, et les cordons de briques très apparents; il reste les bases des premières piles dans la végétation.45.69004869°N
4.733577072°E
8FQ6MPRM+2F
235.4 m
59 Chaponost : Le Garon (pont-siphon aval) 
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 Une arche sous laquelle on passe en voiture, montrant au passage le "remplissage" effectué là aussi par les Romains, puis vers l'aval quelques éléments divers, avec une voûte d'arche écroulée, et enfin le tout dernier bloc du pont-siphon.45.69154173°N
4.735311672°E
8FQ6MPRP+J4
233 m
60 Chaponost : La Gagère (réservoir de fuite et mur) 
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 A la Gagère se trouve le seul élément qui subsiste d'un réservoir de fuite de l'aqueduc du Gier; c'est le rampant, et la base du réservoir aujourd'hui disparu; de l'autre côté du petit chemin, un mur bien appareillé part en direction de la ville de Chaponost.45.695685°N
4.738572°E
8FQ6MPWQ+7F
317.7 m
61 Chaponost , la Côte de l'Air (mur) 
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 Après un long mur, dont certaines arches ont été rebouchées par les agriculteurs de l'endroit, l'aqueduc s'infléchit vers la droite, et repart à nouveau en ligne droite servant de séparation bien souvent à des propriétés, ou le long de chemins.45.70246031°N
4.738227971°E
8FQ6PP3Q+28
317 m
62 Chaponost : La Colombe (mur) 
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 C'est un très joli mur qui se trouve maintenant après la rue Marius-Paire; il va se prolonger, servant toujours de séparation aux propriétés, jusqu'au carrefour de la Madone. 45.71009838°N
4.738818073°E
8FQ6PP6Q+3H
316.3 m
63 Chaponost : La Madone 
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 Le rond-point actuel a complétement changé le paysage de ces dernières années; l'aqueduc étudié par le Service Régional d'Archéologie lors des travaux d'élargissement, est maintenant matérialisé par une double rangée de pierres blanches au milieu du bitume; il tourne ensuite à droite; préalablement, il avait pu être étudié et montrer une particularité jusqu'alors inconnue sur l'aqueduc du Gier (voir photo).45.711047°N
4.739098°E
8FQ6PP6Q+CM
316 m
64 Chaponost : Les Viollières (regard) 
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 A l'automne 1996, préalablement à une construction immobilière, une fouille au lieu sur le tracé supposé de l'aqueduc; celui-ci fut trouvé et dégagé sur une cinquantaine de mètres par la Société Archeodunum; un regard petit module, parfaitement intact se trouvait sur le parcours; Une grosse opération (mobilisant beaucoup d'énergies) eut lieu visant à déplacer le dit regard avant la destruction du site, ce qui fut réalisé; le regard, bien visile aujourd'hui a été déplacé de quelques dizaines de mètres.45.712336°N
4.747529°E
8FQ6PP6X+X2
315 m
65 Chaponost : Le Plat-de-l'Air (mur) 
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 L'aqueduc qui avait disparu enterré, réapparait supporté par un mur sur quelques dizaines de mètres.45.718571°N
4.758688°E
8FQ6PQ95+FG
314 m
66 Chaponost : Le Plat-de-l'Air (arches et regards) 
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 Une longue file d'arches va mener maintenant l'ouvrage romain jusqu'au troisième siphon; trois regards sont visibles sur les arches, et l'enduit subsiste souvent sur le piédroit droit. Les réticulés sont ici en calcaire blanc.45.72178535°N
4.760402718°E
8FQ6PQC6+P5
314 m
67 Chaponost : Le Plat-de-l'Air : (réservoir de chasse) 
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 Après un virage vers la droite, l'aqueduc arrive dans le troisième réservoir de chasse, bien abîmé. De là, un rampant impressionnant permettait aux tuyaux de plomb de rejoindre le sol pour aborder la vallée de Beaunant.45.723253°N
4.762271°E
8FQ6PQF6+8W
313.7 m
68 Sainte-Foy-les-Lyon : Pont-siphon de Beaunant (amont) 
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 Impressionnant pont-siphon que celui de Beaunant à sainte-foy-les-Lyon; la hauteur des arches et leur largeur sont là parmi les plus importantes de l'aqueduc; On voit comme au Garon le remplissage des arches les plus hautes pour les mêmes raisons. Là aussi, les arches plus basses n'ont pas été comblées et offrent ainsi de belles perspectives; deux routes perpendiculaires à l'ouvrage coupent celui-ci aujourd'hui.45.72618393°N
4.777560416°E
8FQ6PQGH+F2
191.4 m
69 Sainte-Foy-les-Lyon : Pont-siphon de Beaunant (aval) 
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 Côté aval, on retrouve le même scénario, précédé de la base d'une pile dans le lit de la rivière l'Yzeron. L. Jeancolas avait pu apercevoir les restes du réservoir de fuite aujourd'hui disparu (1986). L'aqueduc s'enterre à nouveau ensuite.45.72664521°N
4.781179344°E
8FQ6PQGJ+MF
194 m
70 Sainte-Foy-les-Lyon : Chemin de Narcel (arches) 
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 sur le côté droit de la rue, on trouve successivement des traces d'enduit, des bases de piles dans le mur de côté et enfin les arches encore visibles aujourd'hui. Certaines habitations sont insérées entre elles, plus loin, c'est dans le sous-sol de certaines qu'il subsiste les bases de ces piles.45.73460371°N
4.800042029°E
8FQ6PRM2+V2
305 m
71 Sainte-Foy-les-Lyon : Rue Georges-Clemenceau (début des piles) 
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 Là encore c'est tout d'abord à l'intérieur d'habitations que l'on trouve l'aqueduc, puis en bordure de rue, et enfin de l'autre côté d'une barrière et c'est le long du mur d'un immeuble que se trouvent des moignons de l'ouvrage romain.45.74330889°N
4.805316903°E
8FQ6PRV4+85
303.4 m
72 Sainte-Foy-les-Lyon : Parc du Brulet 
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 Dans l'angle du parc du même nom, on peut voir le conduit qui va s'enfoncer à nouveau en direction du fort Saint-Irénée.45.74715578°N
4.806389462°E
8FQ6PRW4+VH
303 m
73 Lyon : Saint-Irénée (arches et réservoir de chasse) 
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 A l'intérieur du fort Saint-Irénée, aujourd'hui résidence universitaire, se trouvent les dernières arches précédant le dernier siphon de l'aqueduc. La base des piles laisse apercevoir les schistes des premières fondations ainsi que la restauration en pierres dorées du Mont d'Or.45.75483°N
4.811151°E
8FQ6QR36+XF
301.9 m
74 Lyon : Rue Radisson (arches et coude) 
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 Sur le côté droit de la rue se voient des arches, qui brusquement vont passer sur le côté gauche, à travers deux angles droits. C'est là que se terminent les parties visibles de l'aqueduc.45.75956941°N
4.814919699°E
8FQ6QR57+VX
299.6 m

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